L’envers du décor, suite.

Revenons à nos moutons premiers…

Bééhh !! Saint Ex, si tu m’entends !

Le billet d’amitiés, donc…

Sur lequel était joliment inscrit : »Trouble-fête ». Connaissant l’élève, ce serait plutôt « boute-en-train », jaillisseur de sourires et créateur de copains….

Le terrorisme fielleux, je connais pas mieux…

Le sous-entendu malsain, sous le « trouble-fête », »l’emmerdeur », le pas-dans-les-rails-prout-prout-coin-coin », n’est pas loin.
Il faut savoir que dans des temps anciens (réacs ???) on distribuait des bons points, aujourd’hui c’est le catalogage d’entrée. Le personnage, « prof des écoles » (Quelle prétention dans ce terme ! J’aimais bien instituteur-trice, on ne ravaude pas un complexe d’infériorité débile et sans fondement, avec une boule de flipper à quatre dents)  » … a t-il jamais ouvert un seul livre psy de sa vie ?

Ou juste regardé autrui autrement que comme un singe savant ?

Sous le « trouble-fête » -quelle fête que ce désenseignement narquois, ce dénigrement d’apprendre dans la joie, car accrochez-vous bien, ce billet aux sales relents était accompagné d’une mention à recopier cinq fois : »Ce qu’on apprend par l’effort reste toujours ancré plus longtemps. » avec le nom de l’auteur de ce sommet, s’il vous plaît : Luc Lecompte. Les miens ne sont pas bons….

Le sieur aurait pu rajouter : « avec deux baffes dans la gueule, ça s’encre encore mieux ! »

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